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Les villes aux couleurs de l'art
18 mai 2014

Les mutations de la presse: une révolution en marche

Defense d'afficher webdocumentaire

 · Web doc : Défense d’afficher « ce que le street art raconte au monde »

Trevor Tweeten – New York – France Télévision – 24/01/14

 http:/www.francetv.fr/défense-d-afficher/fr/#/meres-one

 

Dans ce webdoc c’est le graffeur Jonathan Cohen plus connu sous le nom de   Meres One, une figure phare du street art depuis les années 90 et membre du « Crew TD4 ».Pour lui le graff est une sorte de thérapie contre le stress et qu’il se souvient de chaque endroit et de chaque histoire derrière ces œuvres.

Il nous présente le plus grand espace d’exposition dédié au graff aux Etats-Unis le 5POINTZ.

Des gens viennent du monde entier pour graffer, cela permet de découvrir tout le temps de nouveaux styles de graff et d’apprendre surtout, il essaye de faire de cet endroit un musée, le premier musée dédié au street art.

On comprend vite que cet endroit est un lieu culte pour les graffeur du monde entier et qu’il se bat pour que cet endroit soit reconnu.

 

 · Web doc : Défense d’afficher « ce que le street art raconte au monde »

 

Laurie Grosset – Paris – France Télévision –24/01/14

http:/www.francetv/défense-d-affivher/fr/#/ludo

 

On découvre dans ce web doc, un artiste parisien Ludo, on le voit entrain de changer une publicité dans un abri de bus pour mettre à la place un publicité détournée, lieu idéal selon lui pour attiré l’œil des passant, et surtout pour dénoncer la pollution visuelle et son ressenti sur un fait d’actualité qu’il a voulut retranscrire.

On le retrouve ensuite dans son atelier, pour nous raconter son style, ses influences qui sont le graphisme « trash, Punk » l’industriel et les organiques.

Il crée toutes œuvre à partir de zéro pas de montages ni photos internet.

Il crée selon ce qu’il entend de l’actualité et selon le lieu.

 

 · Web doc : Défense d’afficher « ce que le street art raconte au monde »

 

Lionel Rossini – Bogota – France Télévision – 24/01/14

http:/www.francetv.fr/défensed-afficher/fr/#/bastardilla

 

Dans ce web doc on découvre une jeune graffeuse de Bogota Bastardilla pour qui rester anonyme est important puisque tout le long on ne voit jamais son visage, elle ne cherche pas a valoriser son image mais juste montrer et partager son travail.

Pour elle le graff est une façon de se rapprocher des gens et de construire d’autres pense. La plupart des ses œuvres représentent des femmes, des thèmes peu souvent vus, c’est sa façon à elle de soutenir et de lutter contre beaucoup de discriminations et de violences envers les femmes dans son pays. a travers ses graff elle raconte sa vie aussi, une façon d’inventer un autre monde et de s’évader du quotidien.

On retrouve facilement pour ces 3 webdoc les réalisateurs-journalistes, et les medias qui les diffusent.

L’interactivité du web doc nous plonge directement dans le sujet, il est conçu d’une manière ou l’on peu naviguer de façon unique et donc créer son parcours de lecteur, de spectateur ou d’auditeur selon son point de vue.

Grace à la diversité des articles et a la facilité de les obtenir on circule librement selon ses choix, on devient donc « lect-acteur ».

Il est possible de passer un article ou d’en savoir plus sur un autre au travers d’un interface retraçant la biographie d’un artiste ou le lieu de ses œuvres dans la ville.

Pour ce web doc on peut parlait de fin, puisqu’après avoir visionner les 8 vidéos on obtient une récompense « un économiseur d’énergie pour téléphones ».

Cette interactivité est très ludique pour transmettre des messages, elle apporte des éléments très concrets et visuels sur le sujet, non linéaire et interactif.

L’expérience va encore plus loin grâce aux réseaux sociaux associés, aux liens, aux textes et même avec l’application Iphone.

 

En arrivant sur le site Défense d’afficher, l’internaute est plongé dans les rues d’une ville qu’il ne connaît pas. Au gré d’un parcours aléatoire, il accède à huit documentaires d’environ 7’ chacun, tournés dans les rues de New York, Paris, Bogota, Sao Paulo, Turku, Athènes, Nairobi et Singapour. Autant de films pour décrypter ce qui préoccupe les street artistes aujourd’hui : la place de l’homme dans la ville.

Une immersion totale dans l’univers de chaque artiste. Autant de regards que de séquences, Paris pour l’invasion de la pub, New York pour sa répression envers les graffs, et enfin Bogota pour les conditions et discriminations des femmes, une façon décalée de traiter l’actualité mondiale.

Nous sommes plongés dans la réalité (faits d’actualités), avec des hommes et des femmes racontant leur vision du monde, à la différence d’un récit fictionnel ou la on va créer une représentation ou une simulation d’actions et d’évènements.

Dans ces web documentaires on voit bien que les graffeurs sont considérés comme des artistes à part entière et qui affiche leur point de vue, leur projets, ou encore leur façon de s’exprimer sur un problème de la société, de façon publique et non pas come un acte de vandalisme mais comme leur support d’expression.

Il suffit de se balader et de laisser trainer ses yeux, pour peut être penser que le street art peu être considéré comme un musée à ciel ouvert, accessible a tous.

 Source :

* www.francetv.fr/defense-d-afficher/

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  • Ce Blog est destiné à tous les passionnés d’art et d’arts graphiques mais aussi simples spectateurs de cet art. Je n’ai pas choisi le Street Art au hasard, ce mouvement est de loin le maitre du bouleversement des conventions de l’Art.
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